Vous avez peut-être remarqué hier soir que j'ai changé le titre de mon journal.
C'est que je me suis aperçu, après diverses remarques, dont celles de mes amis
de Radio-Nostalgie-Cameroun, que j'ai fait une erreur colossale:
J'aurais dû faire un blog, car ce journal était un blog, non dans la forme,
mais dans l'esprit.
Cette vue de la tour Nord de mon château vous permettra de situer très précisément
d'où je vous écris. L'enseigne visible sur ce cliché ne signale pas seulement une officine, mais est encore un point repère fort utilisé pour trouver "l'entrée laïque".
Ce matin, je me lève au chant du coq, et je remarque une masse sombre et oblongue
sur le seuil de la porte du donjon. Je pousse l'objet délicatement du bout du pied,
et l'objet se met à battre des ailes, et à se cogner sur les murs. Je réussis à le diriger vers le balcon, et je lui prépare quelques miettes de pain, un petit récipient d'eau.
Et je lui approche ce récipient. Là il s'agite encore, réussit à passer entre deux balustres.
Il a dû rejoindre l'un des manguiers de l'EPCO.
Dans la chronique du 17-18/11, à "La Mangrove", j'ai oublié un détail important:
Après que nous ayons commandé les boissons, la serveuse nous les a apportées.
(Là, vous êtes vraiment surpris, mais c'est ainsi)
Elle était munie d'un objet de technologie avancée: objet constitué d'un morceau de bois, (sans doute partie d'un manche à balai), dans lequel étaient enfoncées deux grosses pointes (probablement sciées, je n'ai pas pu étudier l'objet à fond) servant à accrocher la capsule.
Et ne croyez pas que je me moque de ce décapsuleur artisanal.
Non.
C'est un objet fonctionnel et efficace.
Pas comme le décapsuleur à Beaujolais acheté le lendemain, qui a montré ses faiblesses à la première utilisation.
vendredi 23 novembre 2007
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