Beaucoup d'étudiants camérounais recherchent une université ou une école supérieure à l'étranger (cette constatation fut à la base du projet ESIAC). Parmi ceux-ci, certains viennent à Tunis, où ils trouvent des conditions favorables. J'en ai rencontré quelques-uns dans le foyer des JCAT (Jeunesse Chrétienne Africaine en Tunisie), géré par les Pères blancs. Avec l'un d'eux, Christian, qui vient de la Villa des Palmiers, j'ai pu parler de ce quartier qui me tient à coeur.
Que s'est-il passé ces derniers mois ?
L'entrée Laïque a-t-elle été élargie et bitumée ?
Les trottoirs de Ndokoti sont-ils devenus une autoroute pour piétons, au bord d'une voie rapide et encore plus chargée ?
Ce quartier réussira-t-il à conserver son âme ?
lundi 7 juillet 2008
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